[Podcast] Il faut qu’on parle #2 : Trop de séries ? – le débat de l’été.

Illustration de Paul Blow qui nous a gracieusement permis de l’utiliser.

 

Il Faut Qu’on Parle ! #2 – un podcast consacré aux conversations sur les séries et tout ce qu’elles nous inspirent.

Présenté par Yaële Simkovitch avec le soutien de son co-pilote Dominique Montay

 

Deuxième partie de notre podcast sur l’été 2015, consacré à la question qui a taraudé tous les sériphiles durant les vacances : Y a-t-il trop de séries ??? (Toutes nos références et nos clarifications sont en bas du texte : Ne les manquez pas 😉 )

Dans cet épisode

Une conversation à bâtons rompus autour de ce débat. Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire qu’il y ait trop de séries, est-ce une bonne ou une mauvaise chose et pour qui ? De l’origine de la discussion – le pic de production des séries télé américaines annoncé en août par John Landgraf PDG de FX – à ce qu’elle suscite de réflexions, d’angoisses et même de souvenirs. Nous avons privilégié la spontanéité, voire parfois le désordre, pour un débat plus libre, nous espérons que vous apprécierez nos digressions ponctuelles comme autant de respirations salutaires. Car il faut bien souffler aussi : tant de séries ça pousse aux pires extrémités quand on veut essayer de tout suivre, comme l’a prouvé Andy Samberg dans son ouverture des Emmy Awards :

 

Les invités

Alix Kerrest est venue se joindre à nous pour l’occasion. Si vous ne la connaissez pas encore, je vous invite à la lire ici et à la suivre sur Twitter : @aliabeckett. Je vous invite surtout à papoter avec elle de séries si vous avez l’occasion de la croiser (désolée Alix, tu ne pourras plus jamais boire un verre en paix). Je vous l’avoue, je ne suis pas très impartiale, c’est une de mes meilleures amies, mais plus important pour vous c’est aussi une sériphile de haut niveau.

Nous accueillons aussi à nouveau Nicolas Robert, qui s’était apparemment bien plu lors de sa première visite. Il est toujours journaliste et toujours brillant, mais ça vous l’aviez remarqué dans notre premier épisode (on vous conseille par exemple ce papier paru dernièrement sur Slate intitulé Faut-it être fou pour écrire une série géniale ?). Félicitez-le sur Twitter : @Nicolas_Rob3ert  

 

Crédits

Pour nous écrire : icannotsitstill-at-gmail-point-com ou tout simplement sur Twitter : Yaële Simkovitch : @Yaelka

Dominique Montay : @ItsZeDom

Ce podcast ne serait pas imaginable sans les talents de notre productrice/webmaster/conseillère Juliette Memmi (@juliettedod)  

Nous remercions aussi chaleureusement A Virtual Friend dont le morceau Paris la nuit nous sert de générique :

 

 

Pour compléter notre conversation, et vous donner de quoi perdre quelques heures sur internet, c’est que du bon, mais aussi que de la VO (désolée…) :

 

Webography  

Pour comprendre pourquoi on accorde de l’attention à John Landgraf, apprenez à le connaître à travers cette édifiante interview, par l’excellent Andy Greenwald.

Comme Nicolas Robert l’a fait remarqué, il a effectivement parlé de son ras-le-bol des anti-héros début 2013. 

Un échantillon de toute l’encre virtuelle que son intervention a fait couler :

Linda Holmes de Pop Culture Happy Hour (excellent podcast) que nous aimons citer : Is There Really Too Much TV ? 
> Je cite également cet article ci : With 25 Ways to Watch TW : Does the House Always Win ?  
> L’essai du New York Times (d’où je tire la déclaration de Marti Noxon) : Soul-Searching in TV Land Over the Challenges of a New Golden Age  
> Le prestigieux hebdomadaire The Atlantic : Have We Reached ‘Peak TV’  
> Ken Tucker (Mon ancien critique télé préféré de EW) Is There ‘Too Much TV’ ?  
> Alan Sepinwall dont nous vous recommandons le livre The Revolution was Televised et le podcast (plus bas): ‘Peak TV in America’ : Is There Really Too Much Good Scripted Television ?  

Les critiques dont parle Dominique : Alan Sepinwall et Daniel Fienberg. Leur podcast (qui vient malheureusement de s’achever) s’appelle Firewall & Iceberg.  

 

Trivia & Erratums (Errata?)  

Pour ceux qui ne seraient pas matheux nous confirmons que 211 x 24 est inférieur à 400 x 13 mais pas de beaucoup (136).

Quand j’attribue le suicide de Vincent Van Gogh à son incapacité à vendre, j’exagère largement et passe sous silence son instabilité mentale. C’est une boutade qui permet d’illustrer le propos. Je me sens vaguement coupable de cette entorse à l’histoire de l’art, mais la fin justifie ici les moyens !

Et pour finir, vous n’avez pas rêvé, entre la minute 8’22 et 8’35 j’ai dit « du coup » pas moins de 5 fois. Record ? (Les risques du débat libre)

 

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